En Suisse, en Tanzanie et dans le monde, tout semble s’accélérer : la technologie, la recherche de profit, la déforestation, la pollution des eaux et des sols, la vitesse sur les routes, les incendies de forêt, le trafic d’espèces protégées, le dérèglement climatique, le déclin du sauvage ou le populisme. Il pourrait être facile de baisser les bras et regarder ailleurs. L’ADAP continue à soutenir la mise en place de modèles de gestion qui incluent les autorités villageoises dans la gestion d’aires protégées ainsi que le développement de filières de produits forestiers non-ligneux comme le miel ou les champignons sauvages. Ces derniers ont été une des activités phare de l’année 2024 puisque la production de champignons séchés grâce aux séchoirs a commencé à décoller.
