L’année 2023 a été très animée, tant du point de vue des projets que des activités de plaidoyer et de communication, ou encore de la mise en chantier de nouveaux projets. L’association est parvenue à obtenir un grant du projet Tuhifadhi Maliasili de l’USAID administré par le Research Triangle Institute (RTI) qui vient soutenir les efforts du projet du corridor de la Rungwa. Ce faisant l’ADAP étend son soutien pour le développement des filières de valeur ajoutée (miel et champignons sauvages) à de nouveaux villages, portant à plus de 30 le nombre de villages bénéficiant des appuis de l’association dans le centre et l’ouest de la Tanzanie.
Une année 2022 sous les signes du nouveau, du renouveau et de la persévérance. En Tanzanie, le troisième projet pour la réserve villageoise d’Ipole a vu le jour. A Genève, les statuts de l'association ont été modifiés et approuvés par l'Assemblée Générale du 28 juin 2022. Les membres du comité et les employés suisses et tanzaniens ont réfléchi ensemble à la nouvelle stratégie générale 2023-2027.
L’année 2021 a été une année riche en activités et nouveautés. En Tanzanie, le projet du corridor de la rivière Rungwa a bien pris son envol, le processus de co-gestion des réserves forestières par les villages avance et la filière champignons est prometteuse. Les démarches pour ouvrir un troisième projet pour la réserve villageoise d’Ipole ont beaucoup avancé et le projet a démarré au début de l’année 2022.
L’année 2020 restera dans les annales du 21ème siècle comme l’année de la pandémie COVID-19. La manière dont les gouvernements ont géré cette crise a généré des impacts sans précédents sur un secteur devenu clé pour la conservation de la nature, à savoir celui du tourisme.
A ce jour, l’ADAP n’a pas dévié de l’objectif énoncé lors de sa création : préserver la biodiversité et les systèmes de gestion durable des ressources naturelles, notamment dans les espaces à fortes contraintes.
Après 21 ans d’existence, l’ADAP est toujours là, toujours en mouvement. L’année 2018 aura été une année dynamique pour l’ADAP, tant au niveau de ses projets de terrain que pour ses activités en Suisse.
En 2017, l’ADAP a fêté ses 20 ans ! Deux décennies, ce n’est pas rien dans le monde associatif, où la mobilisation permanente demandée par ce type d’engagement épuise souvent la dynamique initiale. Vingt ans, c’est déjà une sacrée performance en soi.
L'année 2016 fut intense pour l'équipe ADAP puisque nous avons démarré un nouveau projet à Madagascar, entamé une nouvelle phase pour la Tanzanie et continué à être actifs en Suisse avec plusieurs évènements et la fabrication de cosmétiques naturels.
Dans sa brève existence, l’ADAP a déjà connu bien des aléas et a fait face à des défis variés, souvent complexes. Le découragement, la fatigue, voir même
parfois l’idée d’arrêter nos activités ont accompagné notre cheminement. Mais nous avons su persévérer et aujourd’hui, nous travaillons à nous désengager de l’un de nos deux principaux projets. Au Burkina, 12 années de collaboration avec l’AFAUDEB auront permis de jolis succès.
Tout en poursuivant son travail aux côtés des communautés locales qu’elle soutient en Tanzanie et au Burkina Faso, l’ADAP a consacré en cette année 2014 une partie conséquente de son énergie à se projeter vers l’avenir et à développer ses activités à Genève. Au delà de son action sur le terrain, il est en effet indispensable de travailler aussi, au delà de nos projets, sur la durabilité de notre association et l’adaptabilité de nos modes d’intervention.
Depuis sa fondation, la priorité de l’ADAP a toujours été mise sur des projets d’intervention en Afrique pour appuyer les communautés locales dans leurs efforts de gestion des ressources naturelles. Cependant, depuis plusieurs années déjà, l’ADAP s’est rendu compte que cette noble primauté aux actions de terrain n’allait pas sans difficultés pour son assise à long terme. C’est dans cette optique et suite à un double constat que nous avons décidé de renforcer notre présence à Genève et au Nord.
En 2012, l’ADAP aura fêté ses 15 ans d’existence. En toutes discrétions cependant. Fidèle à son esprit d’engagement, l’ADAP était occupée ailleurs, sur le front, en appui aux projets qu’elle soutient. Ainsi, si nous avons manqué l’occasion d’un moment festif, nous n’avons pas perdu notre temps.
L’année 2011 aura été une année forte pour l’ADAP. La pression sur les ressources de notre planète augmente sans arrêt. Cette réalité de notre monde contemporain, nous la connaissons tous et les médias s’en font largement l’écho. Mais sur le terrain, le processus s’accélère et cette pression devient aujourd’hui insoutenable pour de nombreux terroirs aux prises avec une prédation sans précédent sur leurs ressources. Notre mode de vie le demande. Le
développement rapide des pays dits « émergents » ne fait qu’accélérer le processus.
L’année 2011 déjà bien entamée, voici pour vous l’occasion de découvrir quelles ont été les principales réussites et difficultés rencontrées par l’ADAP
au cours de l’année 2010. Année d’action avec ses trois projets menés sur le terrain et ses diverses interventions au Nord, mais aussi année de réflexion, vous découvrirez à la lecture de ce rapport d’activités que l’ADAP a su tirer profits des ressources à sa disposition et qu’elle continue de progresser
vers un fonctionnement de plus en plus professionnel.
